si ça se trouve je vais encore me faire admonester « non c’est pas bien »
vous n’avez aucun droit sur ces images
dans cette maison[s]témoin en plus qui n’appartient à personne
et donc à tout le monde justement
je suis simplement allé au musée et j’y ai pris quelques clichés
allons, il y a ici bien d’autres images de cette exposition – j’y ai retrouvé quelque chose de mon enfance voilà tout, je vous les livre elles m’ont plu – elles datent de 1958 à 1961 – la guerre (pardon,la pacification) a commencé en novembre 1957…
ici une échoppe d’un marchand ambulant
là un môme (ce pourrait être moi, comme la plupart des mômes qu’on verra) devant une autre de ces échoppes
je remarque la qualité de la lumière (le soleil qui frappe je le ressens) et les chaussettes du type, là
toute (enfin, quelque peu, un bon peu) une ambiance, mon enfance sans doute (dauphine, 4 chevaux, 403…)
barbapapa (le sourire, les sourires…)
hexis vestimentaire
les sourires oui
je pensais au voleur de bicyclette (Vittorio De Sica, 1948) – la lumière, les bâches aux fenêtres
ce sourire, un peu comme quand on passe à la télé ou à la radio, on se sent quelqu’un d’important, on est dans de « bonnes dispositions » – hexis vestimentaire encore
il devait y avoir certainement des explications plus poussées,plus précises,mais je n’ai pas retenu (des textes il me semble bien)
quelque chose d’haussmannien…
quotidien
ici ce sont beaucoup des hommes – on verra plus loin, un peu plus de femmes
le sourire, le soleil et l’ombre –
à peine, le sourire… difficilement – ici une femme donc
beaucoup d’images (l’Algérie et ses quatre départements français…) : hexis féminines
ma préférée (on le croirait au nino…)
et pour finir, ce cinéma
Marina Vlady (épouse du réalisateur), Odile Versois (sœurs à la ville, ainsi que Olga Poliakoff, assistante à la réalisation) , Robert Hossein (qui réalise…), au Midi-Minuit (sortie outremer : 1959), dans Toi le venin (d’après le roman de Frédéric Dard) – une histoire de famille…