18/01/2025
Alors déjà, l’copilote là, va po m’emmerdre lingtemps…
Si oui qu’j’va lui envoyer un grand-mère et un Saint Axe qui va l(fère tourner en mouvements perpétuellement incompatibles !)!! Nan mais !
J’ouvre un doc, comme souvent les matins du moment, et là, y’a Mot qui me demande si je veux faire un brouillon avec Copilote… ? c’est qui lui d’abord ? J’ai rin demandé !
Comme si j’avais besoin de qui que ce soit !!! Pour me paumer, ça va aller, je sais faire toute seule !!!
D’ailleurs c’était quoi l’idée ce matin ? Ah oui, faire les menus pour l’Auberge, sas entre deux instances restaurantières, ou pas. Et cette musique de lettres en allant me coucher hier soir, que je me suis laissé bravement pour ce matin : « c’est quoi déjà, cette histoire de « fable du lièvre et de la tortue » ? Pourquoi faudrait-il absolument qu’il y ait un « vainqueur » ? Est-ce que c’est par là, notamment, qu’on nous a foiré la/les perception-s… ? »
Tapage dans moteur de recherche du matin à 5h45 : « le lièvre et la tortue ». Esope ? Tombe bien, j’avais jamais regardé, juste entendu le nom…ah…pas exactement le même texte, mais l’idée du « vainqueur » était déjà là quand même. C’est quoi ça ?
« La tortue-lièvre », ben oui, si j’avais des illuminations premières aujourd’hui, je monterai une église, ça serait plus rentable…l’o po tout lu, l’o po tout compris, mais quand même plus de noms « féminins », c’est déjà ça…
Rahhhhhhhhhhhhhh
Et les menus ?
Et la cuisine ?
La marche en avant. Hier, j’ai juste noté, en pensant au lièvre et à la tortue, surtout à leur opposition littérairement forcée, si je retombais pas un peu sur les pattes de mes recherches antérieurement fallacieuses : et si que le capitalisme n’était qu’une « manière » de déguiser le cannibalisme pas encore complètement déconstruit, quoiqu’on en pense.
J’ai été deux fois au théâtre dans ma petite vie. Pas que je n’aime pas ça, au contraire. Je me méfie tellement de ce que « j’apprécie » à ce point. Je sais qu’il y a là…quelques nœuds pour le moins. Que vient-on dévorer au théâtre ?
Une scène, rehaussée par rapport à des spectateurs, muets pendant une représentation, en « extase » devant la « performance ». Ça me rappelait quelque chose sans que j’ai envie de trop y regarder de près.
Je viens de demander à Copilot les menus de l’Auberge, ben tant qu’à faire, si je peux m’en servir comme commis. Il galère là, je vois bien…
« Désolée, un problème est survenu… », ah bon ? Bah, je ne lui jette pas de pierres, j’en ai pas sous la main ni sous la souris. Faudrait peut être que je le nourrisse avec tous les fichiers de l’ordi ? Ah ben il serait beau le menu…
Ça me rappelle les Tamagotchis, j’en ai jamais eu.
Manger. Dévorer. Se Sustenter.
Digérer. Chier. Je pense souvent à ce film de Pasolini, Salò.
J’ai essayé de regarder son Evangile selon Saint Matthieu, jamais réussi. Ça me rappelle ce morceau, petit morceau de rêve : « Et maintenant que tu as compris qu’il ( Mathieu ) te racontait des histoires, hein ? », de très mauvaise mémoire, très vieux rêve. Un ou deux « t »? C’était les paroles de ma mère, transformée en sorcière peu avenante et peu puissante pendant que je me baladais en ange idiot et naïf, alors que je mettais à jour ??? ayant trouvé un morceau de pierre-savon magiquement adapté à moi.
L’idée de me farder plus de deux heures d’images christiques des années soixante italiennes, ben j’ai toujours pas eu le courage.
Ca ne me fait pas des menus pour l’Auberge ça…ah bon ?