Cinq images

 

de nos jours, le 56 rue des Batignolles

 

ces cinq images qui sont dans le livre – des femmes qui aidèrent le jeune Marcel, puis plus tard encore, parents déportés assassinés – le, pour partie, même patronyme que le rédacteur – ça crée des liens – j’ai commandé recylivres le précédent ouvrage – va pas tarder – cependant de cette histoire (qui est aussi, en un sens, la grande) les bras me tombent – fréquentes déprimes plus éruptions psoriasistiques – tentative d’écritures avortées et encore et encore – quelques centaines de mots/jour – n’importe, voici dans la maison quelques héroïnes – des images souriantes – des femmes qui s’occupent des enfants (on voit aussi leurs hommes, parfois) (l’époque intime aussi quelque chose de la reconnaissance de ces rôles : ces êtres-là ne construisent pas des armes, ne violent ni ne tuent – l’époque est épique, comme elles le sont toutes : l’émergence du sexe « beau mais faible » comme disait une enquêtée – quotas ? vivrions-nous la fin de ?)

 

Annette Voland, veuve Gru, qui recueille Marcel  à six ans – ses parents raflés par la gestapo, lui en réchappe (19 à 60)

leurs sourires sans doute
Raymonde Duc Martin – vivait à Vaujours où Marcel commença d’aller à l’école pour en fuguer (on ne le battit ni le punit pour ces actes-là) (61 à 92)

oui les sourires pour la photo
Lily Salem épouse d’Emmanuel, un oncle maternel de Marcel (sa mère et son père disposaient du même patronyme, je crois bien qu’ils étaient de Constantinople) (93 à 122)

modiste, elle tutoie son employé sauf quand il y a des clientes  – créatrice de chapeau aux Batignolles – on l’aime beaucoup – les trois rangs de perles comme la reine d’Angleterre –
Madame Gobin (vit au troisième, 56 rue des Batignolles, au dessus de l’échope de la modiste Lily) (123 à 148)

dont on ne connaîtra pas le prénom – formidable pédagogue – drôle gaie adorable et veuve
Gabrielle Bertrand, journaliste, exploratrice, aimant les éléphants, le Bouthan, vivant dans une chambre de bonne – magnifique héroïne (149 à 185)

trente ans de plus que Marcel – elle décède à l’hôtel du Quai d’Orsay (l’expo de Sophie Calle) – pour elle, je reproduis cette phrase qui, comme un gant à ma taille, me va : ne demande pas ton chemin à celui qui le connaît, tu risquerais de ne jamais te perdre

Cinq femmes – contre l’œil hein – parfaitement humaines

 

Cinq Femmes un livre de Marcel Cohen (gallimard 2023) (encore merci)

 

Œillets ibériques et péninsulaires

 

 

 

de quelques images rattrapées pendant ces dix derniers jours – quelque chose pour que vive cette maison – comme quelque chose d’entendu : j’étais arrivé à la conclusion qu’il fallait reprendre un peu tout ce qui a été conçu, en faire un lot, un index, un historique, un récapitulatif, quelque chose de sérieux (« t’es sérieux là ? » s’enquièrent nos têtes blondes ou pas) – j’avais des choses à faire (Marseille, Péloponèse, B2TS – le reste, la lecture de la fin d’Almayer et de sa folie – une belle histoire triste abritée par une espèce de mangrove, rechercher Sambir et d’autres lieux – quelque chose comme une réminiscence du rivage des Syrtes, une ambiance de fantômes mais non pour le reste, tout reste à faire comme d’habitude – mais ces images parce que quelque chose de vrai s’est alors passé – j’avais vingt ans tu sais ce que c’est, des choses qu’on n’oublie pas – elles se sont passées mais on ne les a vécues que  de loin, peu, on avait autre chose à faire
¨Puis je me suis demandé, me souvenant d’avoir vu ce film Capitaines d’Avril (Maria de Medeiros, 1999) au forum des images,si je n’avais pas, par hasard, commis un billet sur ce film mais non. J’ai dû oublier, comme souvent – je suis pris par autre chose, souvent, quelque chose à dire et à montrer (à me montrer surtout) (mais je partage) et j’ai recommencé à m’en prendre sérieusement à ma façon de faire, un peu légère mais suivie, j’ai cessé d’attendre à un moment, je me suis dit qu’il était inutile de tenter de comprendre quelque chose à ce public comme on dit – il suffit de (se) donner dans ses actions, quelque chose de généreux peut-être mais arrimé à quelque chose d’éthique – je cherche toujours, sans trouver – lire voyager regarder saisir sentir – non, mais tant pis pour l’œuvre ou l’écrit ou le roman – tant pis mais garder la tête hors de l’eau et nager – quand même 

 

25/04/1974. LA REVOLUTION DES OEILLETS

déjà posée parce que c’est important – descendre l’avenue avec un œillet à la main (ce billet dédiée à l’amie lisboète qui se reconnaîtra) et ne pas tuer – ne pas mourir – comme une vague formidable – tu vois, je ne savais pas alors, certes je criai dans les rues « Stirner ! Proudhon! Bakounine Kropotkine Voline! » sur l’air des lampions, on s’était amusés déjà à chanter « Ah Debré si ta mère avait connu l’avortement » qui était d’un goût assez douteux deux ans plus tôt – on mettait sur nos têtes des entonnoirs – on riait parce qu’on avait déjà derrière nous la réalité de l’usine et la ferme et définitive volonté d’y échapper tout comme à l’armée – nos vies à mener

25/04/1974. LA REVOLUTION DES OEILLETS

nous n’avions pas l’âge de ces capitaines, mais presque – ils étaient nos aînés – ils refusaient l’Angola et le reste – et l’ordure (sans majuscule, non) salazar pourrie était morte, ne restait plus qu’à l’enterrer

Adelino Gomes (ancien journaliste qui a couvert les événements), montrant ses archives, au Largo do Carmo où s’est produite la Révolution.

j’ai volé ces images dans le canard, comme une espèce d’habitude,un modus operandi un genre de crime – j’ai (très souvent) ce que la vulgate de ce genre (policier ou hard boiled) intitule des scrupules de pucelle – nous vivons dans un monde désolé –

Détails de l’exposition célébrant le 25 Avril, au Musée GNR situé à Largo do Carmo.

détacher les portraits (mais les remplacer par d’autres ?) – nous vivons dans un monde absurde – nous ne savons pas, nous ne savons rien sinon que doit vivre la liberté – nous ne savons pas pourquoi, mais sans entrave et sans temps mort …- tu te souviens… et puis le temps s’oublie et passe

Adelino Gomes (ancien journaliste qui a couvert les événements), montrant ses archives, au Largo do Carmo où s’est produite la Révolution.

à un moment, le charme s’est rompu
à un moment je n’ai plus su comment faire pour revenir
alors j’ai regardé devant moi et j’ai continué, un pied devant l’autre
une image après l’autre

Groupe de personnes célébrant le 25 avril et rendant hommage à Vasco Correia et Natércia. La cérémonie comprenait le chant de « Grândola Vila Morena »

des fleurs et des chansons

des noms de personne (à ce moment-là tout le monde faisait le voyage de Lisbonne racontait, il me semble bien, la biographe de JiPé) – ces années-là – le monde et l’univers, ce moment-là où tout semblait possible – et peut-être tout l’était-il, tout comme aujourd’hui

je me souviens des livres de Lidia Jorge (tous, mais surtout Les Mémorables  chez Métailié, traduit en 2017 par Geneviève Leibrich)

– je ne me souviens plus, pourtant, mais j’ai à l’idée ce nom qui me revient mais qui n’a rien à voir – c’est au pays voisin, sous l’ordure franquiste (Castelo Branco c’est ce qui me vient) (en réalité Luis Carrero Blanco dont la Dodge Dart s’envola un 20 décembre au dessus des toits d’une officine jésuite (car le hasard n’existe pas) pour retomber dans le jardin d’icelle – le nouveau premier ministre en mourut, ainsi que son chauffeur et son aide de camp – quelque quatre mois avant…) – je me souviens

 

dispersion #24

 

 

 

j’avais à l’idée cette phrase du carnet café europa (qui m’entraîne toujours un peu vers l’est et sa mer Noire, ce genre de bazar du Bosphore, quelque chose par là-bas) (j’aime assez y penser bien que je préfère, et probablement de loin, le sud) cette phrase donc

Ceci étant dit, l’époque est au morcellement, au fractionnement, à l’attention discontinue et sursollicitée par l’image.

je me disais sursollicitée vraiment ? oui sans doute – peut-être – certes – pourquoi pas ? – probablement – mais les images ici où je (on) (je surtout) ne parle beaucoup que de culture visuelle (alors que je devrais me mettre à écrire) ont ce don de m’aider à me disperser – quelque chose comme de la discorde (je lisais aussi ce quelque chose discorde qui m’a plu) – nous en sommes au vingt-quatrième épisode, mais j’aime à savoir que dans ce dernier mot se niche aussi celui de « ode » qui m’est évocateur d’abord de son diminutif en prénom (porté par mon amie TNPPI, mais aussi la mère d’un de mes plus proches amis décédé au quatre août dernier), mais aussi de cette chanson en poésie sans doute, quelque chose de cet ordre – quelque chose de la mémoire que je ne veux pas oublier mais qui se déliquescence doucement (quand même ce ne serait pas un verbe) – tendrement – garder

quelque chose de l’urgence – sa cravate rose mal ou peu serrée sur son col monumental – ces (ce ne sont pas des mantilles, mais j’aime ce mot il m’est venu et il lui va bien) ses gants, là  (le nom m’échappe) (ce sont des mitaines) un homme qui est à la mode – continue (je ne l’aime pas cependant, cette image je l’ai prise, comme la suivante, parce qu’elle m’indique quelque chose de beau) mais pas le sujet

ici c’est l’outrecuidance de la montre – cette croix, là – mais deux fois pourtant, pour la légende rouge disons

semblable au nuage en artefact qui l’orne (j’aime beaucoup ce nuage rouge, oui rouge) – ce sont des gens comme les autres sauf qu’ils sont  en position d’être reconnus sans qu’on les nomme – tiennent au monde une place conséquente – considérable – des acteurs

(Raymond Aimos et Jean Gabin – Quai des Brumes Marcel Carné,1938) ou d’autres

(Robert Manuel et Jules Dassin, Du rififi chez les hommes, Jules Dassin, 1955) – personnages

(au fond,un type arrose le stade – celui qui joue Judas Ben-hur, je ne le prise pas – son amour pour les armes à feu et les subsides offerts par la National Rifle association c’est non – comme celui  qui anime un de ses contemporains, plus ou moins, delon sans majuscule, je ne l’aime pas non plus (comme disait Pialat à Cannes que je n’aime pas non plus – majuscules cependant) (on prépare les accréditations, là, t’inquiète) en revanche WW et son chapeau, ça me convient – est-ce sa réussite ? sans doute oui – mais cette image-ci

pour toujours

ou cette autre – mais moins pour toujours tu vois –

la légende indique que la photo a été prise au Kremlin (et pas Bicêtre) (mais quila prit ?) – dans le cadre au fond qui domine, Karl Marx – il n’y a là que des hommes, qui sourient benoîtement – la flatterie – le dégoût vaguement – à gauche, chauve : je me souviens de sa chaussure sur le pupitre de l’ONU – je me souviens – ces deux monstres

entre les deux , le réalisateur Noel Marshall époux de Tippi Hedren (égérie pratiquement violée par Hitchcock) et une dresseuse je crois bien – Tippi et la fille qu’elle a avec Noel Marshall, Mélanie Griffith, sont grièvement blessée – tournage de Roar seul film réalisé par  ce Noel Marshall… L’horreur (racontée par Hélène Frappat dans son magnifique Trois femmes disparaissent chez actes sud)

et moins grave

mais magnifique – et elle, Delphine Seyrig, tout autant magique

bah…

 

 

dispersion, une espèce de feuilleton de la maison[s]

 

Contemporain 2 (donc)

 

 

 

 

légende de cette première image:

La chanteuse country Taylor Swift chante l'hymne national avant le match entre les Dodgers de Los Angeles et les Rockies du Colorado le jour de l'ouverture au Dodger Stadium le 9 avril 2007 à Los Angeles, Californie. Stephen Dunn/Getty Images/AFP == POUR LES JOURNAUX, INTERNET, TELCOS & UTILISATION DE LA TÉLÉVISION UNIQUEMENT == (Photo de STEPHEN DUNN / Getty Images Amérique du Nord / Getty Images via AFP)

 

 

add. du dimanche 4 février 24 vers 9h15 du : le rédacteur se rend compte que le titre de son billet a déjà utilisé (par lui-même d’ailleurs, ce qui prouve sa suite dans les (ou sa fixité des) idées)  pour une autre humeur – qui explique bien d’autres choses en somme – c’est là 
bah il y a là aussi cette recette (mais non, je préfère n’en garder que celle des confitures)

 

 

il y a eu cette chanson de Colette Magny (je l’aime bien – elle chantait aussi Melocoton que j’aimais aussi beaucoup, sur un même album, en 1965, vers mes douze ans bien que n’y comprenant que pouic) : j’ai pour cette femme, comme pour Mercedes Soza une affection particulière; j’adore aussi (et d’abord sans doute) leurs voix. Chanson qui est passée sur radio paris à la suite de quelque chose (sans doute avais-je trop bu pour me souvenir – ou autre chose pensé-je à mes amours d’antan (« c’était de la grisette » disait le poète) – et par ailleurs, je dispose dans un dossier de quelques images (seize pour tout dire) dont je voudrais illustrer les paroles – ça vient un peu comme un cheveu dans le potage, je sais bien, mais c’est comme au mitan (à part que tout est centré) (sur la page, veux-je exprimer) : pour voir si quelque chose se passe – la chanson donc étant composée de trente six (disons) vers (lesquels forment six couplets – c’est sans refrain : ça vient de chez Victor Hugo, certes : c’est écrit comme on aime, tu verras), je pose des images à intervalles assez réguliers – il s’agit d’images d’une chanteuse mondialement connue (crois-je croire : il y a quelques semaines, je ne la connaissais pas) (elle fut objet d’une étude de cas en atelier) – je ne suis pas non plus aficionado de ce type d’étoile – mais petit à petit je reconnais que je l’aime bien (notamment parce qu’elle pourrait bien foutre l’ordure à la poubelle) – cela (ma sympathie pour elle) n’a que peu d’importance – les images sont trouvées par un dispositif rôdé donc en atelier un an durant (la traduction des légendes (lorsqu’elles apparaissent) est effectuée automatiquement (artificiellement sinon intelligemment) par le robot et reproduite en l’état)  – celles-ci illustrant celle-là (les images nous sont parfaitement contemporaines – TS à ses « débuts » puis le temps passant – le tout n’étant pas exactement chronologique)

 

 

 

EXCLUSIVITÉ PREMIUM – Taylor Swift est vue en train de filmer son nouveau clip à Londres, au Royaume-Uni. La vidéo a été tournée dans l’un des bus rouges emblématiques de Londres. Taylor avait l’air preppy dans une veste à motifs de style scolaire. Taylor Swift

 

LAS VEGAS – 14 MAI : le musicien Taylor Swift se produit sur scène lors de la toute première soirée de spectacle de nouveaux artistes de l’Academy Of Country Music pour une cause, au profit du fonds caritatif ACM qui s’est tenu au MGM Grand Ballroom, MGM Grand Conference Center le 14 mai 2007 à Las Vegas, Nevada. (Photo d’Ethan Miller/Getty Images) *** Légende locale *** Taylor Swift (Photo d’Ethan Miller / Getty Images Amérique du Nord / Getty Images via AFP)

 

Nous sommes deux drôlesAux larges épaules
Deux joyeux banditsSachant rire et battreMangeant comme quatreBuvant comme dix

(DOSSIERS) Travis Kelce #87 des Chiefs de Kansas City (L) célèbre avec Taylor Swift après avoir battu les Ravens de Baltimore lors du match de championnat de l’AFC au stade M&T Bank le 28 janvier 2024 à Baltimore, Maryland. Vous saviez que Taylor Swift était influente, mais les républicains attribuent maintenant au chanteur des pouvoirs comparables à ceux d’un méchant de James Bond dans une théorie du complot farfelue affirmant que la romance du chanteur avec la star de la NFL Travis Kelce est en réalité un complot visant à truquer le Super Bowl et à obtenir le président Joe. Biden réélu. La relation entre la puissance pop et l’équipe rapprochée des Chiefs de Kansas City a saisi le pays pendant des semaines, avec des caméras de télévision s’étendant à plusieurs reprises depuis le terrain pendant la saison en plein essor de l’équipe dans la NFL jusqu’à un Swift applaudissant dans les tribunes. (Photo de Patrick Smith / GETTY IMAGES AMÉRIQUE DU NORD / AFP)

 

Taylor Swift s’entretient avec Travis Kelce, l’ailier rapproché des Chiefs de Kansas City, après un match de football du championnat de l’AFC NFL contre les Ravens de Baltimore, le dimanche 28 janvier 2024, à Baltimore. Les Chiefs de Kansas City ont gagné 17-10. (Photo AP/Julio Cortés)

Quand vidant des litresNous cognons aux vitresDe l’estaminetLe bourgeois difformeTremble en uniformeSous son gros bonnet

Nous vivons en sommeOn est honnête hommeOn n’est pas mouchardOn va le dimancheAvec Lise ou BlancheDîner chez Richard

DOSSIER – Dans une photo d’archive du samedi 1er juin 2019, Taylor Swift se produit au Wango Tango, au Dignity Health Sports Park à Carson, en Californie. Dans un post cinglant sur tumblr le dimanche 30 juin, la superstar de la pop écrit qu’elle est triste et dégoûtée. que son catalogue musical appartient désormais à Scooter Braun qu’elle accuse de la soumettre à des années d’intimidation incessante et manipulatrice. Ithaca Holdings de Braun a annoncé dimanche l’acquisition de Big Machine Label Group, qui a sorti tous les albums studio de Swift et possède ses masters. (Photo de Chris Pizzello/Invision/AP, File)
La chanteuse Taylor Swift se produit au Lincoln Financial Field dans le sud de Philadelphie lors de la tournée mondiale 1989, le vendredi 12 juin 2015. (Young Kim/The Philadelphia Inquirer via AP) PHIX OUT ; SORTIE TV; MAGS SORTIES ; NEWARK SORTI
DOSSIER – Taylor Swift se produit lors de « The Eras Tour » à Los Angeles le 7 août 2023. Swift sort son film de concert « Taylor Swift : The Eras Tour » le 13 octobre. (AP Photo/Chris Pizzello, File)

Nous vivons sans gîteGoulûment et viteComme le moineauHaussant nos capricesJusqu’aux cantatricesDe chez Bobino

Dans cette capture d’écran fournie par ABC, la chanteuse Taylor Swift sourit après avoir reçu le prix de l’artiste de l’année lors des American Music Awards 2020 diffusés depuis le théâtre Microsoft le 22 novembre 2020 à Los Angeles. (Photo par – / American Broadcasting Companies, Inc. / ABC / AFP) / RESTREINT À UN USAGE ÉDITORIAL – CRÉDIT OBLIGATOIRE « PHOTO AFP / Avec l’aimable autorisation d’ABC » – AUCUN MARKETING – AUCUNE CAMPAGNE PUBLICITAIRE – DISTRIBUÉ COMME SERVICE AUX CLIENTS

La vie est diverseNous bravons l’averseQui mouille nos peauxToujours en ribotesAyant peu de bottesEt point de chapeau

DOSSIER – Dans cette photo d’archive du 4 février 2017, Taylor Swift se produit au DIRECTV NOW Super Saturday Night Concert au Club Nomadic à Houston, Texas. Big Machine Records a déclaré vendredi à l’Associated Press que les précommandes de l’album « Réputation » de Taylor Swift, qui sortira le 10 novembre 2017, ont doublé les précommandes de l’album « 1989 » de Swift, une semaine avant sa sortie. sortie en 2014. (Photo de John Salangsang/Invision/AP, File)

Nous avons l’ivresseL’amour, la jeunesseL’éclair dans les yeuxDes poings effroyablesNous sommes des diablesNous sommes des dieux

 

 

ça ne marche pas si mal

Ni dieu ni maître, certes.

Ici les autres vers de Victor

Nos deux seigneuries
Vont aux Tuileries
Flâner volontiers,
Et dire des choses
Aux servantes roses
Sous les marronniers.

Sous les ombres vertes
Des rampes désertes
Nous errons le soir,
L’eau fuit, les toits fument,
Les lustres s’allument,
Dans le château noir.

Notre âme recueille
Ce que dit la feuille
À la fin du jour,
L’air que chante un gnome.
Et, place Vendôme,
Le bruit du tambour.

Les blanches statues
Assez peu vêtues,
Découvrent leur sein,
Et nous font des signes
Dont rêvent les cygnes
Sur le grand bassin.

Ô Rome ! ô la Ville !
Hannibal, tranquille,
Sur nous, écoliers,
Fixant ses yeux vagues,
Nous montre les bagues
De ses chevaliers !

La terrasse est brune.
Pendant que la lune
L’emplit de clarté,
D’ombres et de mensonges,
Nous faisons des songes
Pour la liberté.

Crisis – documentaire RFK

 

 

 

 

(les sous-titres sont assez mal placés – parfois ils correspondent, mais parfois moins, à l’espèce de narration générale – merci d’excuser cette difficulté – de lecture imposée par le support de vision – je ne suis pas abonné au site qui propose ce film… (*))

 

vous je ne sais pas bien, mais moi je trouve qu’il y a quelque chose de bien pourri dans le climat actuel (et jte parle même pas de météo ou de fonte des glaciers – « on va pas vers le mieux » disait un de mes amis – on parlait d’autre chose) l’ambiance si on préfère – la bête immonde ne cesse pas de hanter les pays – des cinglés flanquent des coups de surin au hasard, d’autres balancent des drones n’importe où n’importe comment (bing : cinquante morts) (dégâts collatéraux et fait alternatifs sont dans un bateau) – en but à l’abrutissement général j’ai regardé un film (c’était un cadeau de je ne sais plus qui – pas une personne, un site je suppose)* comme il m’a plu, j’ai pris quelques images – je les donne ici, la maison[s]témoin déjà pas mal décorée par les diverses dispersions le sera un peu plus (j’ai un index sur la planche, oui) – or donc
ça se déroule aux US, on est en juin 63 (je tapais à peine dix piges) il y a (comme toujours, semble-t-il dans ce sud pourri)  un sénateur 

tellement infatué (le reste de sa vie le voit changer de position – on tentera de l’assassiner) Georges Wallace – là il incarne une espèce de gloire

chauffeur costume tout le kit du « winner » – blanc raciste vaguement play-boy sûr de lui

et de la force de ses convictions frelatées – il refuse l’entrée à l’université de deux étudiants noirs parce qu’elle et il sont noir.es

elle et lui nommons-les, Vivian Malone et James Hood – ça se passe en Alabama, le sud profond comme on dit – le sénateur a certes ses convictions, mais le droit est à l’État, fédéral – le président et son ministre de la justice ont à le faire respecter – c’est une épreuve de force : faire intervenir l’armée, ou simplement en menacer – on voit ici le dispositif mis en place : plusieurs caméras, une prise de vue assez directe 

le sénateur Wallace croit en sa force – en fait, trois ou quatre cameras le suivent, suivent aussi  les deux étudiants, en ce jour où ils font leur entrée à l’université – le montage est alterné : eux, le sénateur, puis le ministre de la justice

les prises de vue ont lieu chez lui, on y voit sa famille, ses enfants puis son équipe

– quelque chose du cinéma direct – d’appels téléphoniques en appels téléphoniques, on réglera le discours et les actions à mener 

le président prendra la parole à la télévision

réaffirmant la réalité de la constitution américaine

– les deux étudiants iront assister à leurs cours

après des moments de tension

on n’en sera pas venus à l’épreuve de force ni aux armes

juin soixante trois

voilà soixante ans de ça… 

 

Crisis un film documentaire pour la télévision réalisé par Robert Drew et Richard Leacock – à la prise de vue, Donn Alan Pennebaker, Richard Leacock, Albert Maysles)

* : le film est visible sur abonnement payant sur le site  tënk

l’avenir est pour bientôt

 

 

 

 

dans ces moments-là, on est pris par quelque chose qu’on ne connaît que mal, déjà croisé déjà ressenti mais déjà disparu tout autant et c’est tant mieux, semble-t-il, tant mieux que ça ne réponde plus, tant mieux qu’on oublie, tant mieux que le calme revienne – il est plus doux que ces ruades, cris, terreurs aussi parfois des drames, non, oublier oui – revenir au film qui n’est rien (on n’en dévoilera que peu, presque rien)  (on est sortis de la salle et que reste-t-il, une image ou deux, un  what the fuck un rire, un sourire qui plisse vaguement les yeux – ici on travaillera à Rome – c’est une ville qu’on aime encore assez) comme on y a travaillé ailleurs (on aurait aussi bien pu en faire un passage numéro deux – cependant cette maison[s] ne cessera pas de tenter de comprendre et aimer et faire partager et continuer à rechercher et encore) ici encore, mais l’affaire est plus centrée sur un cinéaste (Nanni soi-même, je ne sais s’il agit pour son propre rôle) (il se prénomme Guiseppe au générique) et sa compagne /épouse peut-être productrice (Marguerita Buy alias Paola) . Alors commençons par le générique

des acteurs et des actrices

(ce n’est pas très clair, mes excuses)

ça me fait penser à cet humoriste

(j’ai oublié son nom, mais c’était un pseudo) qui poussant la porte d’un opticien

lançait un »salut les bigleux !! » retentissant

Jean-Yves La fesse voilà oui – comédie burlesque – c’est le genre d’ici, en moins burlesque parfois –  je repose les noms du générique en fin – ce cinéaste a toujours eut ses films produits par son épouse – sauf celui-ci – mais elle va avec lui chercher des appuis financiers (des sous en clair) par exemple l’appui des plateformes de nos jours,comme on fait maintenant (type Net-truc) :  et ils se heurtent à une espèce de nouvelle esthétiqueévidemment c’est un peu difficile à accepter et on condescend à tenter d’expliquer 

ça reste difficile – ils s’en vont sidérés

ils feront autrement –

avec des chansons par exemple

et de la dansec’est vrai il y a bien d’autres choses (un autre film, un autre contemporain,une autre disposition), les enfants aussi bien, notamment leur fille qui se marrie

avec un homme plus âgé – cette conjonction entre son film

son état de père

ses relations avec son épouse

ses rêves

et pour finir

évidemment l’amour…

 

Vers un avenir radieux un film (radieux) de Nanni Moretti

 

 

 

y aller

 

 

 

Image pour se souvenir

 

le mois dernier, le « film du mois » d’une association (Périphérie, pour ne pas la nommer, c’est basé à Montreuil-sous-Bois, c’est plutôt bon esprit mais ça ne répond pas, ni au mail ni au téléphone (attitude déplorable mais tellement contemporaine – tellement cinématographique aussi) donnait à voir un « Au cinéma! » d’une certaine Johanna Vaude (ça ne répond pas non plus – mais c’est tellement artistique et contemporain, cette attitude) (certes, mais ladite Johanna Vaude a répondu – encore merci) était donné à voir et j’ai quand même fait des captures d’écran du générique (comak : sur les 10 minutes que dure le film, deux et demie si ma mémoire est bonne y sont consacrées). Il y a deux cent huit extraits (dont deux ou trois uniquement sonores – en vrai probablement 4) pour composer ce film. Il s’agit d’un film de montage qui explique (certaines de) nos raisons d’aimer le cinéma, vues à travers les yeux et les actes des personnages incarnés par ce médium (des gens comme Fritz Lang, Sam Fuller ou Claude Chabrol qui n’en parlent pas (du cinéma) (dans leurs films) n’y figurent pas donc – à moins que ce ne soit par choix de la réalisation – ou encore par possibilité de se procurer tel ou tel extrait – « se procurer » renvoie immédiatement au tiroir-caisse dont on parlera plus loin)

ici la dernière image de ce générique (au Coliseum, on joue (on donne, on peut voir) « Tequila Sunrise » – je ne sais à quel film réfère cette image : c’est assez difficile).

Là, la première (c’est classé par ordre alphabétique)

Il apparaît en surimpression sur des images (ici »Le Locataire » avec le Roman (qui réalise aussi) et l’Adjani)

J’ai donc décidé et résolu de rapporter ici, en cette maison qui aime le cinéma (celui-ci ne le lui rend pas – au vrai, OSEF pas mal car on sait qu’il n’y a qu’une chose qui intéresse ce médium, c’est le tiroir-caisse (accessoire en passe de disparaître) ou le box-office (c’est en anglais, c’est plus une affaire d’argent) (un peu comme la librairie, si tu veux bien voir) j’ai résolu donc de rapporter ici ce générique. Je poserai bien les 22 images qui le (re)constituent (la deuxième ici 

mais je trouve ça assez pénible quand même ça informe

ou informerait sur la teneur et la qualité des films choisis

Le cinéma adore se regarder le nombril (pulsion scopique dirait je ne sais qui- Sigmund ? Carl Gustav ? Jacques ? qui d’autre?)

presque autant que ses spectateurs (et trices soyons clairs) aiment s’y retrouver (et s’y réfléchir mirer reconnaître, j’en passe et des pires – dans celui où j’ai certaines de mes habitudes, un carton en début de séance,lumières encore allumées, qui suit les annonces et les films-annonces indique « Bonne Projection » ce qui est tout dire).

En vrai, je suis curieux et je me demande : combien de femmes réalisatrices dans ce bazar ? (on détermine évidemment le biais immédiatement par le sujet même du film – une femme cinéaste « parle »-t-elle du cinéma ? dans quelle mesure ? dans quelles conditions (me too quand tu nous tiens) etc…) –

quelle est la nationalité des films choisis (comparer avec la production mondiale sera(it) cruel) (mais un « nationalité » pour un film est-ce bien raisonnable ? celle de la maison de production sera(it) plus pertinente). Etc.

On aura d’autres critères, certainement, mais il serait bon de les identifier avant. C’est ce que je m’emploie à faire.

La suite sera donc au (dans un, plutôt) prochain numéro (comme on aime à dire). En attendant (j’ai passé tout de même mine de rien une dizaine d’images de ce générique…)

je pose cette image-là car je ne connais pas cette actrice (je ne parviens pas (mais ça n’a aucune importance, je sais bien) à l’identifier) : quelqu’un.e aurait une idée ? (des recherches ont déjà été menées, auprès du robot, auprès de l’asso (ou de la production…) On verra.

il s’agit d’Assumpta Serna, une actrice espagnole, qui joue dans le film Matador (1986) mis en scène par Pedro Almodovar (merci, donc, à Johanna Vaude)

Ici Match

Dans la série amusons-nous en bricolant,
la maison[s]témoin vous offre
un numéro gratuit de la revue
Ici Match, qui traîne actuellement
sur la table du salon
(de la maison)([s]témoin).

Ce do it yourself vous parviendra
à la suite de tout téléchargement
gratuit d’icelui.

~~}      Ici Match 112 version 1

~~}      Ici Match 112 version 2

 

 

COMMENT FAIRE ?

Procédons pas-à-pas, grâce à ce MODE D’EMPLOI complet et rébarbatif :
1- télécharger
2-imprimer
3-découper selon le pointillé
4-plier comme indiqué sur les photos n°4406, 4407 et 4408 :

   

 

 

FAQ

Vous avez téléchargé la version 112/1 et elle est en noir & blanc ?
– C’est normal. À vous d’y déposer couleurs et inventions impératives.

Vous avez téléchargé la version 112/2 et elle est en couleur ?
– Oui, au cas où le matériel tinctorial vous ferait défaut, la maison[s]témoin s’est agitée de façon pigmentaire en amont.

Vous n’avez téléchargé aucune des deux versions ?
– Reportez-vous à l’alinéa 616 de votre contrat initial. Zoum zoum.

 

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Quelques illustrations additionnelles et supplétives en plus ci-dessous  :

   

   

   

Toiles

 

 

Il ne s’agit que d’images et de représentations, glanées ici ou là (souvent posées par mon frère quelque part, ici là ou ailleurs) je les capture grâce au bouton impécr syst  qu’il y a là, je les pose dans un dossier toiles le vic sur le bureau du personnal computer puis les retaille, en cherche les titres, parfois, les dates de conception, elles sont là pour faire beau – j’aime savoir qu’il s’agit de répliques au même sens que celles des plaques tectoniques qui se meuvent sur le manteau

En ouverture : The Souvenir Jean-Honoré Fragonard, 1775-78

il y a des moments où il faut décorer ces murs taupe – quand même, cette maison à vendre ou à louer mérite quelques aménagements (bien qu’elle ne soit guère visitée : la crise (on nous préfère inquiets, comme tu sais), la pandémie (hier soir écoutant radio paris (qui ment comme de juste) on m’a annoncé en titre que les cinquante mille cas de maladie avaient été recensés ce jour – en titre gros comme le bras – et dans le développement, que des vaccins sont disponibles – un épidémiologiste ne pouvait pas parler proprement de « vague » mais enfin) (j’ai fermé le poste, qu’est-ce que tu veux), la guerre immonde mené par le mini-tsar ridicule et grossier – tout ça n’est guère favorable à l’investissement, hein…)
Alors décorons : Marc Chagall, Église de Chambon (1922-1926)

ce sont les petites poules qui me ravissent – puis Edward Hopper La plage de Gloucester 1924

joli – continuons avec cet autre Chagall La famille ukrainienne 1940-1943

si, c’est quand même joli, ce rouge (sang), ces couleurs (vives),  ce feu peut-être et ces animaux aussi – est-ce bien décoratif, je crains que non mais je le garde et l’expose – la date du tableau et ce qu’il transporte aussi, je ne veux pas oublier –

un autre Marc, Rothko celui-là dans ses bleus, (sans titre, 1968) pour la route (et en signe à Jean-Luc Godard, qui comme ce peintre-là, a mis fin à ses jours) – puis un 2VG Arles jardin en fleurs 1888

une pure merveille – une autre pure merveille, sans doute plus troublée (et bien différente de ce qu’elle est aujourd’hui) Maurice Utrillo (un de mes préférés) et son Place du Tertre 1910

d’autres encore – celui-ci Piet Mondrian, Along the Hamstel 1903 (magique)

et puis deux images, l’une d’un sous-bois (sans référence, je ne sais d’où je tiens cette image – elle est là, elle correspond comme on dit d’une lettre qu’on attend (ou le « on devrait correspondre, puisque tu me corresponds » du Cabrel)

et pour finir, cette image du robot (la piazetta et ses deux colonnes, Théodore qui me fait souvenir d’un ami, et le lion ailé qui veille sur les murs préfabriqués de la maison)

C’est mieux, il semble…

Riace (3)

 

 

les épisodes précédents : première apparition de Mimmo dans la maison;
exploration de son livre;
premier index topographique

 

Les diverses tentatives exprimées ici pour ne pas oublier les valeurs défendues par cet homme, combattues par l’extrême droite (de plus en plus, et encore aujourd’hui en Suède) qui ne gagnera jamais cependant parce qu’elle a oublié son humanité, ces idées et ces actes sont dédiées à la mémoire de Becky Moses, morte brûlée vive dans l’incendie du bidonville de San Fernando,du côté de Gioia Tauro, en Calabre – QSAREP

 

Ici, deuxième index (onomastique)

je poursuis et termine ici l’index des noms propres cités dans le livre de Mimmo Lucano Grâce à eux – Comment les migrants ont sauvé mon village (18,90e chez Buchet-Chastel) (après il paraît que Mimmo était à la fête de l’huma (fin fond du neuf-un : je n’y fus point) (complètement dégoûté par ailleurs par l’iconographie donnée par le premier secrétaire de ce parti dont l’organe produit cette fête) (peu importe, sans doute) – pour mémoire donc. Et pour s’y retrouver. Il s’agit d’un index raisonné  en ce qu’il donne (entre parenthèses parfois) des indications, des informations, des partis pris. Il se peut que cet index soit proposé à l’éditeur du livre, en tout cas on informera ladite maison de l’existence de ce travail.

 

 

A.
ACAR Braham (Kurde resté Riaceso) 78
Ada (amie de la famille Lucano) 99
Albanais 67-68
Alibrandi (fasciste, assassin de Walter Rossi) 108
ALLENDE Salvador (chef d’État) 122
Altromercato (boutiques huile d’olive) 88
ALVARO (famille notables proprios Riace) 101
Amadeo (oncle de Mimmo, instituteur) 101
AMMENDOLIA Ilario (maire Caulonia) 135
Anthime (saint) 24
Africo (reportage sportif foot) 39
Ararat (navire échoué Badolato Marina) 81
Ararat (restaurant Badolato)) 82
ARCADI Domenico (adjoint comptable) 148
ARCURI Bruno (maire Carlopoli) 145
Asad (kurde iranien) 71-72
Assunta (mère de Mimmo) 101
AUNG SAN SUU KYI (cheffe d’État, Birmanie) 130

B.
BACAS (association Bourgs anciens culture art et sciences) 106
Banque Éthique 83, 85, 93
BAKOUNINE Mikhaïl (philosophe anarchiste) 127
BASAGLIA Franco (psychiatre visionnaire)  127
BECKY 13, 14,16, 187
BERLUSCONI (fucking) (Sylvio) 77, 158
BREGANTINI Giancarlo Maria (évêque de Locri) 48-49, 69, 70, 83
BERGOGLIO Jorge Mario (futur François pape) 53
BIANCHI Natale (prêtre à Africo) 42-43, 47, 53
BIANI Mauro (dessinateur) 181
BOFF Leonardo (théologien) 127
BOLDRINI Laura (Haut-commissaire aux réfugiés ONU) 95
BONO (chanteur U2) 130
BORGONZONI Lucia (Ligue du nord, Bologne) 115
BOVA Gesualdo (secrétaire commune Riace) 141
BOUAZIZI Mohammed (Tunisien, suicide par le feu) 158
BRUNO ARCURI (association calabraise eau publique) 145
Bronzes (statues de St Côme et St Damien) 60, 66, 68, 92, 94, 135,151, 179
BUBBA Fausto (agriculteur élu) 46
BUCHET (éditeur) 5

C.
Calabrais 139
CALAMIDA Franco ( 119
CALOPRESTI Mimmo (cinéaste) 41
Camorra (mafia napolitaine) 95
CAMPANELLA Tommaso (moine dominicain,né en 1568) 85, 112
CAMPOLO (responsable secteur immigration préfecture) 165
CARA (camp d’internement demandeurs d’asile, Mineo) 158
Carmelo (ami de la famille Lucano) 99
CAS (centre d’accueil spécial) 166, 170, 172,178
CASADALIGA Pedro 127
Castor et Pollux 25, 66
Cercles d’unité prolétarienne de Riace (foot) 35
CHASTEL 5
Chant de Rina (histoire orale des métiers de la laine) 89
CHE GUEVARA (effigie monnaie) 160
CHIARINI Giulia (manifestante pro-kurde) 126
Cinq Étoiles (parti politique) 139-40
Città Futura (association) 62, 85, 89, 161
City Mayors (fondation élisant « le meilleur maire du monde ») 130
CIRCOSTA Aurelio (géologue) 146
Côme (ou Cosme, ou Cosimo) (saint) 24, 25, 27, 54, 61, 105
Conseil des ministres 116
Coopérative sociale Le Cerf Volant -ânes et déchets) 150
Cosa Nostra 41
Cour des comptes (d’Italie) 159
CRIACO Pietro (écrivain) 40
CRIC (Centre régional d’intervention pour la coopération) 81 (ONG)
COCK Cornelius (pasteur suisse) 81
COMITO Cosimo Salvatore (maire de Riace) 62
CONGIUSTA Gianluca (victime ‘Ndrangheta – effigie monnaie) 160
COSTA Pietro 106-7

D.
D’ALEMA Massimo (premier ministre) 75
D’ERRICO Stefano (instituteur village Leumann) 89
Daesh 78
Dame Rose (taverne) 92
Damien (saint) 24, 25, 27, 54, 61, 105
Daniela (bénévole Pro Badolato) 81
DE ANDRE Fabrizio (chanteur) 123
Democrazia proletaria (parti politique) 119, 123, 125
Desaparecidos (les disparus d’Argentine) 104
Dialogos Globales (forum mondial migrations) 99, 105
DI BARI Michele (préfet Reggio) 21, 163, 170, 178
Di LEO Giovanni (ingénieur hydraulique) 145
DI STEFANO Alfonso (coordination catanaise solidarité Palestine) 119
Domenico (grand-père de Mimmo, postier à Riace) 100
Domenico (ami du frère de Mimmo) 128
Dona Rosa (place de Riace) 180
DRAMÉ Madiheri 17
Duce (fucking) 101

E.
Eau, bien public (association G. Di Leo) 145
Eau, le droit à la vie (livre A.Zanotelli) 145
Elisabeth (LongoMaï) 83
Emilia (tante de Mimmo) 101-4
ERDOGAN (Recep Tayyp wtf) 78
Esso (Station service) 68
Éthiopien 25
EUPRÉPIUS (saint) 24

F.
Facebook 115
FELTRINELLI Giacomo 6
Feuilles d’herbe (recueil de poèmes de Whitman) 108
Fioravanti (fasciste, assassin de Walter Rossi) 108
FIORELLO Beppe (comédien acteur) 169
FLOYD Georges (assassiné par la police aux US) 108
FOFANA Madoufoune 17
Fortune (magazine US) 130,168
Forum social mondial de Porto Alegre 133
Forza Nuova (parti néofasciste) 164
FOSCOLO Ugo 23
Franci (beau-père de Mimmo) 147
FRANÇOIS (pape) (aka Jorge Mario Bergoglio) 52, 130
FRISULLO Dino (militant cause kurde, journaliste, activiste) 119, 125

G.
Gabriel (bébé de 6 jours) 170
GABRIELLI Franco (chef de la Protection civile) 159
Gambiens 154
GANDHI (effigie monnaie) 160
GARRINCHA Mané (jouer de football brésil) 37-38
GASPARRI Maurizio (sénateur) 169
GATTO Rocco (meunier assassiné par la mafia – effigie monnaie) 42-45,160
GENTOLINI (gouvernement) 18
GENTOLINI Paolo (n) 18
Ghanéens 153
Gianni (surnom u’Zingaru – le gitan – artisan roues) 153
Gitans (« amie des » – la mère de Mimmo) 23
Guido (Animateur Radio Zinzine Longo Maï) 83
Guiseppe (frère de Mimmo) 23
Guiseppe (cousin de Mimmo) dit Peppino 122
GULLI Salvatore (délégué Sprar) , 170
GUTIÉREZ Gustavo 127

I.
IMPASTATO Peppino (victime de la mafia – effigie monnaie) 28, 53, 57, 119, 127,160
Ionnienne (nationale 106) 65
IlGiornale (quotidien journal de droite) 164
Il Tempo (quotidien) 80
Il Volo (filmsur Riace Wim Wenders) 129
Inti Illimani (groupe musique chilienne) 122
irakienne (nationalité) 65
Irakiens 67
iranienne (nationalité) 65
Issà (afghan, « le Potier de Kaboul ») 128

J.
Jésus-Christ 24, 42
José (cousin de Mimmo, décédé) 104
Juventus 36

K.
Katojis (caves abandonnées) 128
KING Martin Luther (effigie monnaie) 160, 181
Kosovars 67
kurde (peuple) 69, 125-6
Kurdes 65
Kurdes (syriens, irakiens, iraniens,turcs) 70, 74, 78, 81, 83, 87

L.
L’Archipel (revue de Longo Maï) 82
La brodeuse d’Hérat (atelier de broderie) 92
La cité du Soleil (auteur : Tommaso Campanella) 85-6
La Commune (camping naturiste) 122
La Falaise (ancien restaurant Riace Marina) 94
La Pergola (restaurant, route de Nicoreta) 46
La Reppublica (journal) 67
LADIANA Giovanni (prêtre) 52
LÄMMLER Hannes (Longo Maï) 82
LANCIANO Domenico (bibliothècaire Badolato) 80
LAVORATO Peppino (ami de Valarioti, ancien maire de Rosarno) 45, 53, 101, 116
Le Cerf Volant (ferme pédagogique) 150
Le ciel au dessus de Riace (documentaire) 105
Le monde entier est un village (téléfilm) 169
Le potier de Kaboul (atelier de poterie) 92
Les aigles d’Islamabad (atelier artisanat éthique) 92
Les ailes du désir (film, Wim Wenders) 129
Les Fiancés (roman Alessandro Manzoni) 127
LEFEBVRE Jérémie 5
LÉONCE (saint) 24
Leonilda (tante de Mimmo, mère de Damian) 105
LEUMANN (ancien village ouvrier, pratique du tissage) 88
LIBELLA 6
LIGGIO Luciano (mafieux) 41
Ligue du Nord 113-4, 139, 180
LOIERO Agazio (président région) 95, 135
Longo Maï (communauté libertaire anticapitaliste) 82-83-84, 87, 91
LOSARDO Gianni (assassiné par la mafia) 47
LUCANO Eliana (fille de Mimmo) 54, 99
LUCANO Martina (fille de Mimmo) 54, 99,181
LUCANO Mimmo 5, 179-180
LUCANO Roberto (père de Mimmo) 32-33
LUCANO Roberto (fils de Mimmo) 58

M.
Mafalda (tante de Mimmo) 101-4
Magna Grecia (nom donné aux côtes sud de l’Italie) 50,61,69
Mai (fête de, Riace accueil hospitalité) 69
MAIOLO Giovanni (travailleur social, gréviste de la faim) 157
Maison des Fillettes Invisibles (Cuzco,Pérou) 54
Maison Zerilli Marimo’ 107
MANCUSO (clan mafieux) 17
MANDELA Nelson (effigie monnaie) 160
MANELLO Gerardo (maire de Badolato) 81
MANFREDONIA Giulio (réalisateur télé) 169
MANOCCIO Giovanni (maire Acquaformosa, gréviste de la faim) 157
MANTOVANI Ramon (député Rifondazione Comunista) 75
MANZONI Alessandro (écrivain) 127
MARADONA (Diego) 37
Maria (adjointe aux travaux publics) 148
Maria Teresa (donatrice) 88
MARONI Roberto (fuckingministre ligue du nord) 158
MARTIN LUTHER KING (effigie monnaie) 160, 181
Martina Franca (race d’ânes) 153
Mastro Micu (Maître Domenico, grand-père postier) 100
Mères de la Place de Mai 54, 93
Méridionaux 139
MERINO Gustavo Guitterez (prêtre, théologien,philosophe, Pérou) 140
MERKEL Angela (chancelière Allemagne) 130
Mimmo’u curdu (Mimmo le Kurde) 65, 72,187
MINÀ Gianni (journaliste) 37
MINITTI Marco (ministre intérieur) 169, 170
MINNITI-ORLANDO (décret scélérat) 14, 18, 119,139,172
MOHAMED ALI 37
MONTE Salvador (Don, prêtre) 52, 99
MONTI Mario (premier ministre) 159
MORCONE (préfet) 165
MOSES Becky (22 décembre 2017 demande de carte d’identité) 13, 15, 20-21, 118, 172
Mouvement Cinq Étoiles 116, 180
MUSTO Marcello (manifestant pro-kurde) 126

N.
National Museum of American Indian 107
Napolitains 139
‘ Ndrangheta (mafia calabre) 39, 41-46, 174
NELSON MANDELA (effigie monnaie) 160
Nicholas (Longo Maï) 84
Nicola (oncle de Mimmo) 101
Nigériens 18
NOBEL (prix .de la paix) 130
Nord-Africains 158
Norouz (nouvel an persan) 125
Nuclei armati rivoluzionnari (groupuscule fasciste) 108
Nuestra Senora Madre de los Migrantes (missions) 99
Nunca mas (le « plus jamais » des mères Place de Mai) 105

O.
ÖCALAN Abdullah (chef du PKD) 75-76
OLIVERIO Mario (président région Calabre) 168-9,170
OLIVITO Damian (cousin de Mimmo, photograpĥe) 105
ONG 139
ONU (Haut-commissariat aux réfugiés) 95
ORLANDO Lucaneo (maire de Palerme) 20
ORTIS Jacopo 23

P.
PACINELLI Elena (militante Lotta Continua blessée par balle) 108
Padanie (nom burlesque donnée à l’Italie du nord) 139
PalaDozza (stade, Bologne) 115
PARKS Rosa 181
Parti Démocrate 116
PASOLINI Pier Paolo (Cercle culturel) 35, 58, 62, 123, 127
PAZZANO Cosimo (habitant de Riace) 60-63,69, 72-73
Peppina (tante de Mimmo) 101-2
Peppino (alias Guiseppe (cousin de Mimmo)) 122
PEPPINO IMPASTATO (effigie monnaie) 160
PERNA Tonino (prof.de sociologie, Messine) 83, 85
PERTINI Sandro (président Italie) 45
Peuple des zéros (Riace et ses habitants, d’après Salvini) 116
Phéaciens 69
Portés par le vent (fondation) 88
Poutine 78
Printemps arabe 158
Protection Civile (de Calabre) 159
PROUDHON Pierre-Joseph 127
PUGLESI Pino (prêtre, assassiné mafia en 1993) 86,127

R.
Radio Zinzine (Longo Maï) 83
Rai (chaîne publique télé) 169
Re.Co.Sol (réseau des communes solidaires) 152,157
RIACE France (fonds) 6
Riacesi (habitants de Riace) 31, 101
Riacesi (habitants de Riace émigrés) 54, 153
RIINA Totò (mafieux) 41
RINA (chant de) 90
RIPAMONTI Maria (céramiste) 128
RIZZO Marco 5
Roberto (fils de Mimmo) 29-31, 187
ROCCO GATTO (effigie monnaie) 160
ROGNONI-LA TORRE (loi antimafia) 94
Rosa (place, à Riace) 115
ROSSI Walter (militant Lotta Continua assassiné le 30/09/77) 108
Roms (« amie des » – la mère de Mimmo) 23, 26-27, 113, 187
Rugasana (race d’ânes) 153

S.
SACKO Soumalia 16, 118
Saddam (fucking) Hussein 68
Saint Matthieu (évangile selon saint, film de PPP) 127
SALVINI (décret scélérat sécurité) 18
SALVINI (fucking) Matteo 20, 52, 77, 112-4, 119, 140, 182
Sarah (porteuse d’eau, dédicataire du parc des Fontaines) 150
Les Sardines (mouvement origine Bologne) 115-6
SARTRE Jean-Paul 127
SCHRÖDER Gerhardt (chancelier) 76
Septembre (fête de, Riace hospitalité, accueil) 69
SGRÒ Pina (épouse de Mimmo) 89, 151
Siciliens 139
Siderno (entreprise potabilité eau) 149
SIMONETTA Mario (tueur mafieux) 45
Sintés 27
Somaliens 153
So.Ri.Cal (socitété mixte eau Calabre) 143,148
SPA NÒ Maria (candidate maire Riace) 138
SPRAR (projet italien protection demandeurs d’asile) 83, 161, 163,164, 166, 178, 180, 182-3
STAJANO Corrado (journaliste) 40
STILO Giovanni (Don, curé (mafieux) d’Africo) 41, 47
syrienne (nationalité) 65

T.
TARCISIO (prêtre) 50
TELESIO (Bernardino – philosophe calabrais) 112
Teresa (tante de Mimmo) 101
Thanksgiving (fête EU) 107
THÉODORE (saint) 24
TORRES Camilo 127
Trames globalisées (atelier de tissage) 92
TRIFOLI Tonino (maire de Riace) 28
Trionfo 36-37
Trump 78
Turcs (ethnie kurdes) 67
Tziganes 9, 26-27
To Ryacon Argalios (nom de l’association de tissage) 89

U.
Union Européenne 161
Urgence Afrique du Nord (décret Berlusconi) 158
URSINO Vincenzo (chef clan mafieux) 42
URSINI Luigi (tueur mafieux) 45
Ursino (clan mafieux) 42
U2 (groupe musical leader Bono) 130

V.
VALARIOTI Pippo (assassiné par la mafia) 45-46
VASSALO Angelo (marin assassiné par la Camorra) 95
(VASSALO) Dario (frère d’Angelo) 95
Véolia (maison mère SoRiCal) 143
Village de l’accueil 92, 107
Village global 92, 93, 109, 115,180
Village LEUMANN (ancien village ouvrier, tissage) 88
Vincenzo (ami de la famille Lucano) 99

W.
WENDERS Wim (cinéaste) 128
WHITMAN Walt (poète) 108

Z.
ZANOTELLI Alex (prêtre) 51, 121, 145
ZERILLI-MARIMO’ (Guido)(maison italienne NYC) 107