parfois je me demande – la chanson qui fait Don’t explain – une chanson d’amour qui fait aussi I’m so completly yours – non mais tu sais tout oublier, on s’en fout, l’important c’est d’être en vie – ce genre de romantisme qui me plaît – des images dont on ne comprend pas le sens immédiatement – celle-ci par exemple
immédiatement antérieure à
quelque chose interroge – l’opel (il faut le savoir certes) déjà – puis le Monza aussi – la plaque noire réfère à la collection – on s’en fout hein, le truc qui consiste à suivre et à dans les pas de précédent mettre les siens – le lien va à un billet magnifique (toute modestie mise à part : ce n’est que moi – peut-être y manque-t-il les actrices que j’aime – peu importe) – alors on cherche (et on trouve) (ou l’inverse) ici en 2008
d’un peu plus loin (le robot ne fait pas dans la dentelle tsais – il ne considère rien : il prend – c’est sans doute pourquoi tout en l’adulant (pour les traces qu’il laisse) on le hait – tout autant) – il passe, il vole, il mémorise (2014)
plus d’auto à ce moment-là – la maison vit est habitée (on y entre, on en sort comme d’un moulin)
il me semble reconnaître l’auto (2016) – plus loin
un angle, un croisement, deux rues – une ville de banlieue – des voitures garées devant le porche – de loin j’ai le sentiment qu’il s’agit de la Monza (mais ici elle est blanche – il en est peut-être deux – plus tard encore (2018)
la chose a changé (on discerne peut-être une petite fiat : approchons, voulez-vous
ça se peut) (qu’est-ce derrière ? je ne sais pas) (en tout cas, tout ceci est assez vivant) – puis plus personne
(2021: la Monza est là) (tandis que le confinement s’est de nos vies éclipsé) – 2022 : plaque d’immatriculation jaune…
stase semble-t-il – ici 2023
semblable à l’image prise par Caroline – juste en passant (plus tard aussi, en passant) – je ne cherche pas tellement plus – je trouverai sinon – j’aime ce soleil et les taches qu’il laisse sur l’entrée – je repose ici ma danse (je suis de face en marcel, mon ami le sanaryote est de dos, devant moi, on a bu et on rit – il est cinq heures et demie – il y a une chanson qui passe –
on danse
il fait doux
le reste on s’en fout
à vous…
et notamment en spéciale dédicace à l’amie Caro
(c’est-à-dire aussi qu’il n’est pas question de laisser abandonnée cette maison-là – quand même le cinéma la déserterait – ce ne sera pas le cas – on y travaille – on est là)
c’est bien t’sais
trop merci Brigitte… :°))
« on danse
il fait doux
le reste on s’en fout »
(trop bien)
@cjeanney : on est d’accord sur les fondamentaux…!! Merci à toi