incidemment je m’aperçois que cette maison ne comporte pas de pièce intitulée bibliothèque (un bref regard rétrospectif indique que cet aperçu se réalise alors qu’elle apparut (le 13 mai 2015) sur ces ondes ces fils et ces réseaux il y a de ça (donc) plus de huit ans… il serait temps) (on doit aussi à la vérité de souligner que ce genre, ou ce type, ou cette qualité cette catégorie de pièce dans une maison ne se rencontre que dans des demeures de luxe charme classe enfin rarement dans les premiers quartiles des constructions de la population des propriétaires immobiliers) (on a quand même un bureau) – mais disposons ici le livre de l’ami Lucien Suel (aka Lulu deuch’Nord)
(j’emprunte ici les images disposées chez lui) (on y trouvera les informations pour se procurer l’ouvrage)
un premier
(je le retranscris ici mais ne le commente point)
» rentré dans la vie /perdu le contact/la règle de conduite/une vie solitaire
plus bas
Ma voix me paraît étrange
puis
Le moment est peut-être venu
et
Je ne peux pas vous dire des choses
pour finir par un
arrachai le feuillet
Puis un autre (qui a dû être commenté)
et en effet
ste a dit…
massacrattaquer une résolution
11:26
et Anonyme a dit…
Ivan, tsar 3 ans, le plus terrible de tous les tsars de toutes les Russies, qui fit massacrer ses opposants, notamment les orthodoxes, puis tua son fils d’un coup de sa canne ferrée, fit régner la terreur et en effet, ils finirent par obéirent – ce qui ne l’empêcha de mourir probablement empoisonné… – le film de Sergueï Eisenstein (l’un des plus grands monteurs de tout les temps et d’ailleurs tous ses films sont des joyaux), l’une des plus belles fresques historiques cinématographiques de tout l’univers – musique de Prokofiev (Sergueï aussi), une merveille (image Edouard Tissé, qui éclaira tous les films d’Eisenstein) (Ivan le Terrible, 1944 pour la première partie, deuxième partie censurée par Staline – qui s’y reconnaissait sans doute, 1958, la fin en couleurs, troisième partie inachevée)
vers 17h23 ce jour-là.
Un troisième
dont je livre ici l’intégralité de ses commentaires :
1 – 4 sur 4
Anonyme a dit…
(ces commentaires ont commencé au P*/E* 625 – un centenaire, dit mon nombril) (aujourd’hui, il est particulièrement coton je dois dire) (le poème, pas mon nombril)(je n’ai pas l’attachement particulier pour David Lynch, mais j’aime ses (trois premiers Eraserhead, 1977 – Elephant man, 1980, un peu moins Dune, 1984 (le livre en revanche, de Frank Herbert,est une merveille)) films quand même, malgré leur nébuleuse tentation de tourner en eau de boudin) (il se peut que l’adulation hystérique dont sont parés ses (très) diverses productions ait en quelque sorte un effet repoussoir) (quoi qu’il en soit, on préfère Rita la brune, désolé pour Betty) c’est Betty qui parle, dans cet appartement dans les verts de la pourriture – une allégorie, certainement, de son psychisme dégradé (l’histoire est assez belle pourtant, bien que je ne sois pas non plus client des amours saphiques) (cette dernière parenthèse avec des mots du marketing publicitaire que j’agonis tout autant) (enfin voici le commentateur partagé entre ce que lui inspire ce centième poème et les films de ce réalisateur qui n’entrent pas dans la catégorie des merveilles – selon lui) (Mulholland Drive, 2001)
08:36
-
ste a dit…
Arche-mémoire
14:04 - ste a dit…
- Parfois, j’ai un peu honte de ma concision devant les développements grandioses de PCH dont on a l’impression qu’il pourrait nous raconter l’intégralité de l’histoire humaine sans que l’on décolle du canapé.
14:08 -
Lucien Suel a dit…
- En tous cas, ce dialogue entre long et court me va bien.
07:35
et le dernier pour finir
Un chantier lexicographe en cours recense à l’appui de ces différents commentaires les films et noms des intervenants cités (et c’est du boulot).
Pour finir donc mon (ou l’un de mes) préféré(s) (540)
Avec mes compliments.
je partage la petite honte devant « les développements grandioses de PCH » je partage le goût pour les poèmes express de Lucien Suel (pas digne de l’appeler Lulu) mais me passerai tant pis de ce très beau livre
@brigitte celerier : Lulu c’est joli je trouve – merci à vous(« grandioses » allez quand même…)