Un peu plus d’une trentaine d’images qui réfèrent à la construction du premier EPR (initialement European pressurized reactor, renommé Evolutionary power reactor) (le changement de nom en gardant l’acronyme, le fait de l’intituler en anglais, le commerce mondial, la pointe avancée de la technique : toutes choses qui me semblent courir vers un mur qu’on percutera – peut-être de notre vivant, peut-être pas – toutes choses qui seraient à expliciter et déconstruire comme dirait l’autre). Elles sont organisées en deux thèmes : le paysage; l’humanité.
Dans cette seconde partie, si on remarque qu’il ne se trouve que la partie mâle de l’espèce, on se souvient cependant que cette branche de l’industrie avait, un temps, à sa tête une femme (Anne Lauvergeon). Tout est évidemment politique, mais je ne cherche ni ne trouve dans ce champ un intérêt ou un but ou encore une explication.
Je remarque juste que cette entreprise avait deux (disons) échéances :
– un achèvement cinq ans après sa mise en chantier (on en compterait quatre fois plus pour une mise en service progressive, qui nous dit-on devrait trouver sa pleine efficacité en juillet de cette année)
– un prix deconstruction évalué alors à trois milliards d’euros (on en est à dix-neuf et demi)
Bah.
Ce sont des images qui viennent en ordre, de la plus proche de nous aux différentes autres évoquées, dans le temps comme on pourra le lire dans les légendes .
(comme illustration des dérapages… je passe) (que des types, en attendant et pareillement ici
(on ne sait pas – mais il y eut de nombreux bruits – c’est un secret industriel probablement – combien de morts a suscité cette construction – non plus que leurs nationalités – non plus que les doses reçues par eux – le chantier est, par essence, dangereux c’est vrai aussi)
(on allait au bord de la mer chantait Jonasz…) nécessairement refroidir le processus – des images : ici la « vraie » construction (ça se passe en France Cotentin)
là la « fausse » (image d’artiste) ça se passe en Grande-Bretagne
rond ou carré ? comme on aime – on s’y promène, tranquillement, le dimanche ou pas, il n’y a aucune raison d’angoisser – on y accompagne même un enfant en rouge, c’est pour vous dire (Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima ? no comment) – dans le même ordre d’idée
l’agriculture ne craint rien – on bosse, on nourrit, on engrange…
(on dispose de ces vues, d’autres auraient pu venir ici en Finlande, ou en Chine – mais en fait non)
encore quelqu’un qui bouge et vit (image d’artiste électronique) (ça promène son chien, c’est sans danger, inoffensif et il fait même beau c’est pour te dire) – avant c’était comme ça
ou encore comme ça
hein oui ? une histoire d’hommes
ça n’a rien de simplet tu comprends bien – et si tu y tiens, une alternative aux grandes étendues…
impressionnant – c’est comme ça la vie – l’énergie – l’électricité – on va même jusqu’à décorer, une sculpture d’art moderne qui en anoblit une autre
oui enfin assez particulier- intérieur 1
intérieur 2
intérieur 3
ah déjà vue – bah – intérieur 4 ?
et intérieur 5
on continue on finira bien par achever – on l’espère furieusement (Super Phoenix ?) – ici sans personne
là animée
un peu de logo
pour en arriver aux directeurs
propres sur eux (enfin…)
conscients sérieux
responsables
on va se gêner tiens – et puis à propos de drapeaux, voilà la Chine et son représentant – reçu au Royaume-Uni certes
édifiant ? on l’espère – de dos à nouveau et pour finir
Il s’agit d’un travail (inutile cependant, autre, différent, sans objet) mené dans le cours de cette actualité qui ne cesse d’envahir nos âmes peut-être bien – en tout cas la mienne bien que je n’en rêve pas explicitement (l’âme a-t-elle quelque chose à voir avec les rêves ? toujours la même histoire…). Un des compartiments du jeu contient l’analyse des images – notamment en suivant des séminaires de culture visuelle. C’est dans ce cadre que s’inscrit ce billet (ainsi que les autres qui traitent de la dispersion) – il s’agit peut-être d’une tentative d’exprimer une quelconque théorie (le terme recouvre un sens d’infini ou de pléthore, tout au moins, qui est ici illustré).
En tout état de cause, l’affaire est exploratoire, empirique, sans prétention aucune à quelque exhaustivité ou calcul moral ou conclusions péremptoires que ce soit.
Une première « étude » des divers territoires ou sites ou situations des centrales nucléaires de ce si beau pays a été entreprise ailleurs.
Cet article prend place et développe ce que j’entends par alimentation générale (« concept » qui est représenté en images par cette entrée dans le blog pendant le week-end) (ça vous a quelque chose d’assez prétentieux, mais j’ai des difficultés à prendre les choses « à la légère » alors que je les prends « au sérieux ») – il y a évidemment un jeu de mots, mais pas seulement : par exemple, on sait (on nous l’a dit, on peut le mettre en doute, mais les agissements de nos compatriotes (et les nôtres tout autant) durant les premiers jours du « confinement » portaient les signes de cette conclusion) que les villes disposent, au mieux, de trois jours de produits pour subvenir aux besoins des populations – nous vivons dans l’ère du flux tendu; sans livraisons et assortiments des diverses enseignes, quasi quotidiens, l’heure sera grave. Dans le même ordre d’idée, et pour ici (l’Internet) il s’agit d’un élément essentiel et tout autant vital, l’électricité est une ressource inhumaine peut-être mais sans laquelle « il n’y a plus rien » comme disait Léo.
Le dispositif mis en place est le suivant : on suit les liens des divers articles auxquels renvoie l’organe à partir des images (et de leurs légendes) publiées dans le journal de référence (quelle référence ?) paraissant (l’édition dite « papier ») l’après-midi (tout cela a beaucoup changé – mais c’est de peu d’importance, tout comme (d’un autre point de vue) ce billet-ci (au vrai j’aurais aimé laisser le billet précédent en haut des présentations de cette maison[s]témoin afin qu’elle montre quelque chose de l’importance accordée par moi aux autres, notamment).
Une réflexion sur « Centrale et générale »