Une histoire simple

 

 

Je déserte un moment le terrain du cinéma pour parler un peu football, une histoire simple – les événements se déroulent sur un long moment mais les images illustrent ces temps un peu reculés – les mœurs du moment, et puis la suite et puis de nos jours – une belle histoire qui se termine à la fin de l’année dernière (la guerre en Ukraine ? rien à en faire – les choses vont comme elles vont, ainsi que les affaires). Les images sont reprises du canard ainsi que les légendes que j’engage à lire.

Au début de ce conte réaliste se tient la fin des « trente glorieuses » et au cours du « premier choc pétrolier » – (tu te souviens, crâne d’œuf ? un président aux mains baladeuses – safari – diamants – avions renifleurs – oui ? non ?) ici assis avec un de ses homologues (l’émir du Qatar)

en réalité, l’histoire pourrait être sous-titrée France-Qatar – on vend des armes ou des trucs, on achète du gaz et du pétrole – alternance ? Numéro 1

on a les amis qu’on mérite ? Je ne sais pas, l’État est cependant le même, semblable – voyons voir

ah les armes, oui- alternance ? Numéro 2 (ah de la couleur)mes si chers amis (mais de dos) – il faut parler la démocratie, la diplomatie, une autre façon de marcher – les affaires, toujours – alternance ? Numéro 3. Non continuité des affaires – quand on aime hein (le président de la République décore qui il veut)

sur ces entre-faits mais dans la continuité

et puis

les affaires – quand on aime hein (t’as vu ? ça a marché – oui, viens que jt’embrasse)

les années passent – la compétition va commencer (juste un deal – pratiquement quelque chose de normal : tu m’achètes un club, je t’aide pour la coupe, qu’est-ce que tu en penses ? )

Un club ? Non mais je brode…

la vie est belle et on sait comment dépenser son argent – ça va se corser

des fois moins des fois mieux – ou pire(on a remplacé Sepp, il était trop vieux,par Gianni)

  influences aides compétitions performances – ah bah

l’important, c’est de participer, le sport (et le football) c’est d’abord et avant tout que le meilleur gagne ! il faut l’ expliquer peut-être

certes, mais entre amis, on se comprend

la vie est belle, le monde est tel qu’il est, le boycott n’existe pas et les amis sont les amis (bonjour tout le monde – noter la contre-plongée quand même)

et puis la compétition se joue à la régulière (alternance ? 4)

on a perdu, c’est vrai, mais restons beaux joueurs

Fin.
(Provisoire)
(justement oui : add. du 27/06/2023 vers 4 du) il ne faudrait pas croire quel’un des potentats manquants ici chargés par la cinquième constitution de cette république soit absent de ces preuves d’amour – l’abjection de ses jugements de ceux et celles qui l’ont élu, qu’on ne rappelle pas ici, ne peut guère cacher qu’il ne différait que de très peu des divers personnages évoqués ici. Pour tout dire, et signifier le rang auquel se place ce terne élément, mettons qu’en lui s’incarne  l’alternance Numéro zéro

 

Méthodo
parfois je tente de (me) faire croire que je m’amuse – il y a une espèce de tendance à essayer de suivre quelque chose, de bout en bout, du début à la fin – par exemple, de la naissance à la mort – il y a cette tendance – sans doute ce qui explique qu’il m’arrive rarement de terminer les trucs que j’explore, j’envisage, je découvre, je les laisse en plan (d’ailleurs, je n’en ai pas d’autre) – je travaille mais je ne sais pas exactement à quoi, mais je travaille. Je n’aime pas spécialement le football (je préférerais le rugby si tu préfères sauf que depuis quelques dizaines d’années c’est devenu une machine de guerre et je n’aime pas la guerre – du tout), je déteste le sport (je n’ai pas lu le Churchill qui vient de sortir à la fabrique mais j’en ai eu vaguement l’envie – déboulonner les statues tsais) il se trouve que je mène depuis pas mal de mois des recherches (que j’ai interrompues il y a quelques temps) (comme par hasard) qui ont pour point de convergence, focale polaire centrale, la conjonction disons d’événements qui sont anniversaires : la Commune de Paris, l’enlèvement d’Aldo Moro et son exécution, la pandémie et sa forclusion folklorique du début des années 20 (les années folles, comme on sait) (hein). Pour établir disons solidement celui du milieu, je recherche et compile les articles du journal auquel j’ai été abonné (merci encore, tellement) qui ont trait à lui et à son principal (disons) personnage (disons encore) Aldo Moro qui est un des « mot-clé » que j’utilise pour les retrouver (il y a aussi les dates, le mot Italie et d’autres encore que j’ai oubliés plus ou moins) : et il m’arrive de trouver des articles un peu différents – je lis aussi le journal du jour pour en prendre quelques clichés que je fais paraître (entre autres) dans mon « carnet » qui est une prise de pouvoir (partielle) dans un autre blog – je prolonge depuis novembre une modalité d’atelier d’écriture – j’avais déjà, par pas vraiment ailleurs mais dans le même état d’esprit, commis une participation assez copieuse (intitulée 110 images quand même).
Je suis arrivé à un article parfaitement documenté dont je n’ai plus trouvé l’existence (sans doute en manquant l’acte, je suppose, mais je ne peux l’affirmer complètement). En tout cas, les images, pour la plupart, en viennent ; d’autres des développements ultérieurs. Tout reste pendable, des agissements des uns comme des autres (il s’agit en effet d’un histoire simple, peut-être, mais d’hommes, c’est incontestable).
Ici je siffle la fin de ce conte, et je m’en retourne à d’autres agissements.

5 réflexions au sujet de « Une histoire simple »

  1. moi aussi je préfère le rugby enfin le rugby d’avant, d’il y a longtemps …
    je me demande est-ce que Gianni manie aussi bien le sport argent que son prédécesseur (même moi en ai entendu parler)
    et je me demande si ce pauvre gamin couvert d’honneur et d’argent mais de talent n’a pas envie de mordre l’épaule de notre papouilleur en chef.
    au surplus, tout est normal quoi

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